Elections 2017

Dans un an environ, en avril 2017, nous seront en pleine élection présidentielle. A un an des élections, les candidats fourbissent leurs armes, mais autant dire que pas un seul ne me fait rêver.

Parmi les principaux candidats qui ont envie d'y aller, deux présidents sortants ou sortis, et une femme dont beaucoup espèrent qu'elle ne sera pas la première femme présidente de notre pays.

A ma gauche, François Hollande, le président sortant que beaucoup rêvent de sortir, tant il fait de la peine dans son amateurisme à conduire notre pays.

A ma droite, Nicolas Sarkozy, embourbé dans des affaires plus ou moins obscures, en peine avec la rénovation d'un parti prétentieux qui s'est approprié le monopole du nom commun "Républicain", dont la personnalité clivante crispe une grande partie de l'électorat.

A l’extrême droite, Marine Le Pen, qui bénéficie de cette situation et s'est déjà assurée un ticket pour la finale.

En 2012, Hollande a été élue non par choix, mais par défaut, car les Français ne voulaient pas de Nicolas Sarkozy. En l'état actuel des choses, il y a fort à parier qu'en 2017, les français n'aient encore une fois pas véritablement le choix de leur président. Or, le vote par défaut - et par dépit - n'est clairement pas le plus favorable pour créer une dynamique positive dans notre pays.