Hier, je vous ai donné trois petites choses de Paris qui ne me manqueront certainement pas. Mais bon, Paris a aussi ses bon côtés, qui me manqueront certainement. Heureusement, je ne serait pas si loin de la capitale (à peine quelques heures de train) et je pourrais venir profiter des bon côtés de la capitale.

Voici donc, trois choses, qui me manqueront sans doute à Paris :

1. Mon environnement, mon quartier, mes magasins fétiches. Y'a pas à dire, en quatre années, on tisse des liens avec la ville qui nous accueille. On arrive, on cherche ses marques. On est un peu perdu. Très vite, cependant, on prend ses habittude. Retirer de l'argent, au distributeur du coin. Poster une lettre, dans la boite aux lettres en face. Aller dans le supermarché du coin, dans le centre commercial. Prendre le métro, à deux pas de chez moi... Je vais changer d'environnement, et conserver une certaine nostalgie du quartier, somme toute très agréable, dans lequel je vais vivre encore quelques semaines.

2. Paris. La ville en elle même, et toutes ses composantes, va me manquer. J'adorais y flâner. Visiter les édifices public, grimper en haut de ses monuments, visiter ses églises, parcourir ses musées, ses quais... Se balader dans Paris est une découverte de tous les instant. A quelques jours du grand départ, je réalise avec stuppeur qu'il me reste encore une bonne demi douzaine de musés à découvrir, qu'il y a encore pas mal de rues qui manquent à mon tableau de chasse... J'ai pris énormément de photos, je vais pouvoir un jour, je l'espère, les mettre en ligne, mais bon, sans doute découvrirais-je qu'il me manque quelques clichés

3. Mes amis. Je suis arrivé à Paris en même temps que quelques amis. Ces derniers y ont passé une bonne partie de leur enfance et n'avaient donc pas le même regard neuf sur la capitale. Je n'ai jamais vraiment réussit à les trainer dans un musée. Il étaitent, en quelque sorte, blasés. Même si à Paris, je ne me suis pas fait énormément de nouveaux amis, j'ai apprécié pouvoir passer quelques soirées avec mes amis de Paris. Il sera désormais plus difficile de nous voir. Je crains malheureusement qu'avec la distance, nos rencontrent ne s'espacent. Ainsi va la vie...